Si on élaborait une législation juridique sur le clonage, nous devrions considérer ses aspects positifs et négatifs.
Le clonage aide au rajeunissement ; il peut être utilisé pour inverser les attaques cardiaques; il permet que les couples infertiles aient des enfants ; il peut éviter le risque élevé du syndrome de Down; il rend possible cloner des foies et des reins pour des transplants; il peut guérir des cancers et il peut guérir des maladies génétiques.
En partant de ces aspects nous pourrons considérer que le clonage est utile pour l'humanité. Pourtant, le clonage a plusieurs risques: la possibilité de compromettre l'individualité; la perte de variabilité génétique; le vieillissement précoce; le grand nombre d'anomalies; les blessures hépatiques, les tumeurs. Cette technologie n'est pas encore bien développée, ayant un bas taux de fertilité. Les clones peuvent être l'objet de discrimination de la part de la société. Les clones peuvent être sujets à des problèmes psychologiques inconnus, avec l’impact dans la famille et dans la société.
Je crains qu’il doit exister un équilibre entre les avantages et les inconvénients du clonage pour que la législation soit consensuelle.